Le titre sonne bien, même s'il ne veut rien dire |
Ayerdhal est un
admirateur de F. Herbert. Ca se sent. Parfois un peu trop, comme quand un
personnage récite la litanie contre la peur, de façon inutile. Inutile, parce
qu'Ayerdhal n'a pas besoin de tel clin d'oeil: sa façon d'envisager chaque dialogue
comme une lutte de volonté, d'insister sur les plans retors des différents
groupes en présence, suffisent à nous faire ressentir l'influence d'Herbert dans
son écriture.