L'étrange pluriel à "récit" tient au fait que les anecdotes ne sont pas forcément lié entres elles. Mais les personnages récurrent suffisent à nier cet inutile pluriel |
Si on est un peu
sensible à l'évocation du sang et des plaies béantes certains passages seront
difficilement supportable. Mais le reste récit est sympathique , il a le bon gout
de ne pas trop sombrer dans la description de l'horreur. Mais quand il le fait, on défaille.
Le narrateur ne peut
s'empêcher parfois de se lancer des fleurs. Il rend bien compte du
désarroi d'un jeune homme qui aurait une véritable vocation à sauver des vies, et qui est dans l'endroit le pire pour le faire, avec un manque de connaissance handicapant. La fac de l'époque ne préparait pas plus que l'actuel à la réalité du terrain.