01 août, 2013
Autopublication: chiffres de Juillet
On pourrait croire que,d'un mois sur l'autre, les chiffres tentent de contredire l'analyse faite sur les chiffres du mois précédent.
Jusqu'à présent, je prétendais que les recueils ne pouvait jamais se vendre. C'est ma meilleure vente du mois.
Tout cela ne prouve rien, sinon que sur des chiffres aussi faible, il est absurde de tirer des conclusions générale.
Les faibles volumes de ventes qui passe d'un titre à un autre sont juste le résultat du hasard.
En fin de mois l'ensemble de mes livres sont sorti du programme d'exclusivité d'Amazon. Même si la plateforme est leader sur le marché du livre numérique, ne vendre QUE pour une tablette fabriqué par la plateforme semble idiot.
Il parait évident que de plus en plus de livre seront à l'avenir lu simplement sur des téléphones portables, ou sous tout support avec un écran qui a une interface simple et qui peut se transporter.
Apres 1 an à suivre ce qui se fait je crois avoir découvert les autres alternatives à Amazon:
-Google Play. Qui permet de vendre des livres pour le téléphone de google, et je ne sais quoi d'autre. Si l'idée d'offrir encore plus de pouvoir à Google (il sait déjà ce que je recherche, ce dont je parles sur leur blog, les lieux qui m'intéresse sur leur map, etc); Le service pour proposer ses produits est payant. Je crois qu'il ne s'agit que de 20 euros par an, ca reste un investissement que je ne pense pas rentabiliser en allant chez eux. Mais surtout l'idée même de payer 1 cents pour le droit de vendre un produit, ressemble trop à des arnaques connus pour que je me prêtes au jeu.
-iTunes. Idéal pour atteindre toute la gamme Apple. Seul souci, pour proposer un produit en vente chez eux, il faut non seulement donner son numéro de CB (c'est déjà moyen) mais en plus avoir un numéro client. Si google semble gentiment vous enfler de 20 euros, là, on vous impose carrément d'acheter la merde vendu par la plateforme pour avoir le droit de vendre sur la plateforme. J'ignore comment le cynisme sous-jacent à un tel procédé est encore autorisé par la convention de Genève.
-Kobo. C'est pas traduit, c'est laid, ca fonctionne mal. Mais c'est tres facile de mettre son livre dessus. Conseil: Ne trainez pas trop pour remplir les champs, sinon le site risque de ne pas validez vos réponses. Rien de plus frustrant que de passer 20 minutes à taper un résumé du livre convainquant, vérifier l'absence de fautes, pour constater que tout s'efface au moment d'enregistrer l'écran.
Kobo, j'en parlais la dernière fois, permet plus de souplesse quant au tarif. Les livres sont lisibles sous tout support, et l'on peut en offrir gratuitement.
Je suis donc curieux de savoir comment le mois prochain va se passer. Je présuppose que sortant de KDP, comme j'en parlais au premier post de ce blog, que le site va beaucoup moins proposer mes livres aux lecteurs. Je suis curieux de savoir si cette théorie (Amazon met en avant les produits KDP) va se vérifier. Je suis aussi curieux de savoir si Kobo permet de toucher qui que ce soit. Leur site semble si mal foutu, qu'en tant que lecteur j'aurais du mal à simplement arrivé à m'en servir. Espérons qu'il y a des lecteurs moins handicapé que moi.
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