Si la couverture rappele "Le Moine" de Lewis, c'est bien moins gothique. Ou du gothique stéphanois. |
Sortant d'un autre
roman policier, à la fois différent et très proche, la comparaison
je le crois sera instructive.
Là ou "menace
sur le shogun" multipliait les termes japonais pour faire
couleur locale, Exbrayat multiplie les termes d'argot gône (région
Lyonnaise). Étonnamment l'argot d'Exbrayat est bien plus digeste et
agréable que la pseudo érudition japoniaisante de l'auteur
américain.