04 décembre, 2013

Publication chiffres de Novembre



Les sites sont tellement paramétrés pour les téléphones qu'on doit se taper ses grands espaces inutilisés comme si on était demeurés et aveugles


Ayant comprit que la promotion c'est pas mon truc je laisse désormais mes livres vivre leur vie. De toute façon à part contacter des blogueurs lecteurs, ou des journaux, ou je sais pas quoi, j'ignore si un écrivain amateur à la moindre chance d'attirer l'attention sur sa production.

De toute façon ce n'est pas très important.


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Après Amazon et Kobo (et Smashword, mais ce site n'a aucun intérêt pour les livres en français) j'ai mit un livre sur Google Livre ou Google Play, je sais pas trop lequel c'est.

C'est aussi simple que sur les autres plate formes. Malheureusement Google Play ne fait pas la transition depuis un document en ".doc" vers l'"epub", format roi pour les ebook.
Comme le livre n'est pas proposé en format epub , seul ceux qui désirent le lire en pdf (donc sur un pc normal) pourront le faire. Tout ceux qui ont des tablettes ou des téléphones portable ne pourront pas le lire (c'est en gros ce que je comprend du format epub).

Au final amazon semble attirer bien moins de lecteur que kobo/fnac


Il existe des logiciel gratuit pour convertir les documents en epub. Je  déteste suffisamment google pour décider que je ne vais même pas essayer. De toute façon publier sur une plate forme dont les livres ne sont pas le fond de commerce semble assez peu productif. Comme on le voit Amazon qui, bien qu'étant un libraire à l'origine, n'a plus rien à voir avec les livres, m'a permit de vendre bien moins de livre que le moins connu kobo.
Quelque soit la raison (Amazon a une bibliothèque plus étendu, qui rend son propre livre quasi-invisible, ou Amazon "cache" les livres sans public pour favoriser les plus connus); qu'importe pour Google c'est encore pire: Ils détiennent sans doute une part ridicule du marché d'ebook (50% détenu par amazon, 20% par la fnac). Si je n'avais pas une peur panique à l'idée d'avoir encore plus de mes données sur les serveurs de Google (ce site leur appartient déjà) j'aurais mit d'autres livres sur leur plate forme. Mais je ne peux (sans doute à tord) viscéralement pas. Un jour peut être je surmonterais ma peur, si j’apprends que tout le monde lit des livres sur son téléphone et que tout le monde se fournit sur Google Play, ou que l'envie me prend de tester ces logiciel de conversion en epub. En attendant restons loin de l'hydre.


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