27 juin, 2013

Puzzle Quest et TrouDuc RPG


La carte me fait penser à l'Europe : ici l'Espagne et le sud de la France
J'ai découvert le type de jeu de "Match-3" tellement tard, que j'ignore son nom français. En Anglais le type  s'appelle Bejeweled (sans doute du nom de la première itération qui a eu du succès sur les téléphone portable et qui devait contenir des joyaux à aligner par groupe de 3)

Le moment ou j'ai découvert que j'adorais ce type de jeu c'est en jouant à Elements of Arkandia:


11 juin, 2013

Mauriac: Genitrix


Il manque un fauteuil pour évoquer Psychose




Il y a deux choses qui m'insupporte chez Mauriac :
 1_ la Landes... Au bout du 3eme livres on en a un peu marre.
 2_ La bassesses des personnages.

08 juin, 2013

Mauriac: La fin de la nuit


Série sur Mauriac, finalement contrairement à ce que j'ai stipulé dans mon analyse d'auto publication de Mai, peut etre que je lit tout d'un auteur quand j'aime un de ces livres




Comme on pouvais déjà le voir dans "Noeud de vipère", où le personnage avaricieux maladif lâche d'un coup tout son trésor sans vraiment de raison; Là encore, le personnage un peu manipulateur de Thérèse devient tout à coup paranoïaque comme un cheveux pousse sur une soupe: sans raison biologique.

04 juin, 2013

Mauriac: Le noeud de vipères


Ne me dites pas? Ah si "de l'académie Française"... Il y a quelque'un qui n'en est pas de cette académie?



Malgré la préface, la postface, et les notes qui encombrent mon édition, ce livre n'a rien à voir avec la religion. Même si Mauriac prétend le contraire. Et je n'aurais absolument pas remarqué la moindre intention religieuse de l'auteur si ces ajouts au roman n'avaient pas autant insisté dessus.

01 juin, 2013

Auto-publication de Mai et le rôle des promotions


Mettre cet écran chaque mois, pourra me permettre d'avoir une estimation de l'évolution saisonnière. Mais il parait que la fin de l'année est la "bonne" période pour les ventes de livres
Comme je l'avais expliqué le mois dernier,  je suis retourné dans le programme KDP select. Ce que le programme propose pour les lecteurs c'est la possibilité d'emprunter gratuitement un livre, une fois par mois. Pour les écrivains, une petite rémunération (1 euros en gros) quand leur livre est emprunté.

Le programme ne fonctionne visiblement pas, parce que sur le mois (comme l'indique l'avant dernière colonne) je n'ai eu aucun emprunt.


29 mai, 2013

Boulgakov: Récits d'un jeune médecin


L'étrange pluriel à "récit" tient au fait que les anecdotes ne sont pas forcément lié entres elles. Mais les personnages récurrent suffisent à nier cet inutile pluriel


Si on est un peu sensible à l'évocation du sang et des plaies béantes certains passages seront difficilement supportable. Mais le reste récit est sympathique , il a le bon gout de ne pas trop sombrer dans la description de l'horreur. Mais quand il le fait, on défaille.

Le narrateur ne peut s'empêcher parfois de se lancer des fleurs. Il rend bien compte du désarroi d'un jeune homme qui aurait une véritable vocation à sauver des vies, et qui est dans l'endroit le pire pour le faire, avec un manque de connaissance handicapant. La fac  de l'époque ne préparait pas plus que l'actuel à la réalité du terrain.

 Témoignage raconté avec précision et simplicité sans pathos inutile.

24 mai, 2013

Pourquoi les road-movies?



Il y a quelque chose de rassurant à voir la simplicité du plan de R.K. Rowling pour le dernier Harry Potter... Notez les abréviations ("vol" poru Voldemort), le découpage par protagoniste, et surtout le plus important, les mois prévus (2 par chapitre)

Le livre n-Ombres que j'ai publié sous pseudo, sera gratuit ce week end: Le 25  (à partir de 9h) et 26 mai (jusqu'à 9h le 27 en fait). Je vous incite à lire ce thriller sentimentale (bien que je ne sois pas sûr du genre), parce que c'est un échec. Un échec sur lequel j'ai passé beaucoup de temps, et que je me refuse d'écarter, parce qu'il y plein de chose que j'aime dedans. Sauf que j'ignore si ça peut plaire à quelqu'un d'autre que moi.


20 mai, 2013

Boris Vian: Le ratichon baigneur


Il doit y avoir une raison à la présence de cette image un peu osée en couverture. Et ce n'est pas en rapport avec les thèmes du recueil.




Deux jours après avoir lu ce recueil, j'avais déjà du mal a me souvenir d'une seule de ces histoires.
 Les deux premières sont oubliables: Trop d'inutile surréalisme ; quoique que ceux qui ont aimé ( je n'en fais pas partie) le roman surréaliste de Vian dont le nom échappe, mais ou un protagoniste crève d'un nénuphars qui lui pousse dans le ventre, pourraient apprécier.

La nouvelle éponyme, est un essai foireux sur le langage et l'argot.
 Sinon il y a quelques nouvelles rigolote: "Francfort sous la main" (ou un autre jeux de mot nulle dans le genre) est assez sympa avec des personnages attachants. La nouvelle féministe à la piscine est assez drôle aussi si on n'est pas exigeant. Et vraiment le reste s'il y en a , j'ai oublié.
 Éventuellement si on veut faire une thèse sur Vian, on retrouvera certains des thèmes de "J'irai cracher sur vos tombes", et d'autres bouquins, mais c'est le seul intérêt du recueil.


17 mai, 2013

Pouchkine: La dame de pique


Les auteurs russes sont usuellement très long, pas la


Des deux nouvelles qui composent ce recueil; la première éponyme étant trois fois plus courte que la seconde c'est la première la seule valable.
 La dame de pique est une nouvelle à la Poe, avec du mystère, de l'horreur quotidienne, une chute dramatique, et quelques longueurs. Heureusement la peinture de caractères est bien plus réaliste, et drôle que ce dont ne fut jamais capable Poe.

La seconde nouvelle est un récit d'aventure classique, qui, s'il commence à merveille, tombe dans le récit d'aventure nian-nian plein de péripéties lourdingues, de coup de feu et de jeunes filles amoureuses de brigands. Heureusement la fin dramatique rachète un peu la soupe de bons sentiments qu'on nous à fait avaler.


13 mai, 2013

Troyat: Raspoutine



On retrouve le "de l'Académie Française", c'est le "vu à la télé" des livres


Il eut été difficile de faire un mauvais livre avec la vie passionnante de Raspoutine. Troyat a fait un bon livre, bien documenté sans nous noyer de références.
 Toutefois, l'absence d'avis du biographe, les "miracles" racontés tels quels avec très peu de contre argument (quand il y en a), les quelques citations de Raspoutine , le font indubitablement passer pour un être attachant et plein de bonne volonté (ce qu'il était peut être, mais j'ai quand même de gros doutes)

On ignorera le dernier chapitre (qui raconte la révolution russe après la mort de Raspoutine) et qui veut rapprocher la personnalité de Lenine et de Raspoutine, comme si l'un avait besoin de l'autre pour prendre une dimension humaine, une profondeur psychologique, plus importante.
 C'est juste une "astuce" de biographe voulant montrer son talent d'analyse, c'est nulle et inutile.