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On sent que la couverture veut nous faire croire à une nouvelle érotique japonaise. Ca n'a rien à voir, mais bien tenté quand même "Babel". |
Une sorte de
surréalisme quotidien vient hanter ces pages. Le genre en est (à ma
connaissance) unique.
Pas d'êtres
improbables ou de mystères tapis, mais un métier qui fait sens, bien
que jamais il n'existera. Un besoin irrationnel traité physiquement
par des moyens rationnels et triviaux.
Cette façon de
raconter l'histoire rend tout intriguant et l'on lit par seule vertu
de la curiosité et de l'attente d'une compréhension de ce qui se
passe réellement dans ce roman. C'est un peu comme si un Kafka
parfaitement sensé et posé et sans outrance nous racontait une de
ses histoires. A lire vraiment, tant le genre en est, à mon sens,
complétement novateur.
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'Actes sud' aurait du mettre une jeune femme demi-nu devant une piscine pour faire comme "Babel" |
Qu'est ce qui se
passes dans cette nouvelle je l'ignore. Comment la description d'un
réfectoire et de la jeunesse -un tout petit peu- difficile d'un
personnage; Comment peut-on lire cela avec plaisir? Qui est ce personnage et son
enfant ? pourquoi sont-il vraiment passionnés par les réfectoires?
Je ne peux
comprendre cette nouvelle qu'en l'envisageant sous la forme d'une
allégorie. Mais elle se tient suffisamment toute seule pour ne pas
en chercher le sens.
J'ai déjà oublié la nouvelle sur la piscine.