Auto-publication: Récit d'un echec

3éme remaniement de couverture d'un livre qui ne s'est jamais vendu

Comme chaque fin de mois, je vais faire un post racontant un événement de ma publication littéraire du mois, de façon pratique, sans faux semblant, ni langue de bois.
Publier un livre sur amazon, et ne PAS le vendre est la norme. J'en suis conscient, et je ne m'attend pas à plus qu'une vente par mois.
Pourtant pour "Qui a tué Jules César?" (que j'appellerai "César" par la suite par simplification) J'ai planifié dans le moindre détail la publication (ce que je n'avais jamais fait) pour un résultat commercial bien pire que mes autres livres.
Je crois pouvoir en tirer certaines conclusions.

Voltaire: Lettres choisies

J'ignores comment la centaine de lettre (sur plusieurs milliers) du recueil ont été choisies, mais elles valent toutes le coup.

L'évolution du héros: Télé, Ciné, Litérature

Le monomythe, inutile comme outil de création mais agréable comme simplification de l'interprétation des oeuvres. En littérature comme en physique des particules, tout le monde veut une théorie unifiée

Je crois avoir découvert cette théorie sur la façon dont le divertissement traite différemment, en fonction du média, l'évolution des personnages mit en scène.
J'ignore si quelqu'un l'a déjà découverte, ou, plus probablement,  l'a déjà réfuté.

Journal de voyage: Glavenrock

Topless Barber - Artiste local

Le plus rigolo c'est de voir la tête des clients qui entrent dans le magasin. Certains expriment clairement leur surprise ou leur lubricité, mais le plus passionnant concerne ceux qui ne croit pas à ce qu'ils voient. Ils détournent la tête, on peut presque lire sur leurs traits, qu'ils cherchent une caméra cachée. Les vieux shows télévisés des années 80 leurs ont enseignés que l'inattendu est toujours programmé.

Ayerdhal: La bohéme et l'ivraie

Le titre sonne bien, même s'il ne veut rien dire

Ayerdhal est un admirateur de F. Herbert. Ca se sent. Parfois un peu trop, comme quand un personnage récite la litanie contre la peur, de façon inutile. Inutile, parce qu'Ayerdhal n'a pas besoin de tel clin d'oeil: sa façon d'envisager chaque dialogue comme une lutte de volonté, d'insister sur les plans retors des différents groupes en présence, suffisent à nous faire ressentir l'influence d'Herbert dans son écriture.

Crystal Saga: La fin d'une addiction

Le magasin est accessible via le gros bouton en bas à gauche de la mini map. Il ne vaut que pour l'onglet Coupon.

Je ne vais pas mettre de nouveau graphique, screenshot du jeu. Parce que je n'y retourne plus.
Et si j'y retourne je vais de nouveau perdre quelques jours dessus.

Depuis T4C (the 4th prophecy) mon addiction aux MMORPG suit un principe simple.

Qui a tué Jules César : Dernière ligne droite

Je devrais peut être réserver les post concernant chacun de mes alter égo à leur blog respectif

Jean Zoubar a eu la gentillesse de me faire une image de couverture. Je ne lui fait pas honneur en la mutilant au service du marketing :
-Un titre énorme pour être lisible sur une image même très réduite, comme elle apparaitra au final sur amazon
-Des couleurs vives pour attirer l'attention.

R.C. Wilson: Spin

Difficile de rentrer dans ce livre , quand le motif de jeunes jumeaux au QI exceptionnel influençant le monde a déjà si bien été traité par O.S Card dans la "Stratégie Ender".

Auto-publication: De l'illusion de la promotion

Je vais faire un post pratique à chaque fin de mois sur mon auto-publication du mois précédent

L'existence de ce blog résulte en parti du conseil donné aux auteurs auto-produit d'avoir un site internet. La raison plus personnel est que mon orthographe m'handicapant terriblement pour écrire mes romans, j'ai décidé d'écrire un blog pour m'entrainer et me corriger.

La promotion, comme ce site,  j'ai testé, ça ne marche pas.

Fuentes: En bonne compagnie et le chat de ma mère

Sans doute parce que je n'ai pas lu ses meilleures oeuvre je ne comprend pas l'engouement pour Murakami. Fuentes, présenté en 4eme comme "le maître de la littérature mexicaine" me semble surtout être le Murakami du Mexique.

Voyons leurs points commun, et pourquoi je n'accroche pas.