03 décembre, 2012

Edvardson: chambre numéro 10


"Omar m'a tuer "


Ce policier a un premier tiers délicieux. La technique de "Brainstorming" des policiers est un procédé narratif passionnant et permet à l'auteur de passer ce premier tiers sans rien révéler mais en supprimant des hypothèses pour ainsi maintenir le suspens.

Puis dans un deuxième tiers l'intrigue s'essouffle en des flash-back pas passionnants mêlés à la vie de famille sans originalité du héros.

Et la fin rend fou, vu que le lecteur découvre le coupable évident (même moi, qui n'ai jamais cherché le coupable dans aucun roman policier) alors que les policiers s'enferrent à poursuivre des suspects visiblement innocent. Et connaissant le coupable, la chute qui se veut un crescendo dramatique tombe à plat.

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